Contes faits, c’est plus qu’un spectacle.

Plus qu’une suite de spectacles.

C’est un projet fou, utopique : Comprendre ce que c’est qu’être Humain.

Formol et Rock N’Roll n’est que le premier volet, la première brique dans le mur.

Si une histoire vous à touché, qu’elle est vraie, et que vous voulez participé au projet, racontez-la moi ici, avec vos mots, en quelques phrases. Elle fera peut-être partie du prochain spectacle !

Il y a ce que nous croyons , ce que nous savons, ce que nous croyons savoir et ce que nous sommes vraiment, sans doute la somme de nos actes…

Les actes qui sont narrés ici ne sont pas toujours rationnels !

Extraits de la « réalité », ils reflètent la diversité de nos comportements étranges, ou de l’étrangeté de certaines circonstances, mêlant le quotidien et le hasard, l’absurdité et l’héroïsme discret. Les humains sont parfois si…étonnants !

Des humains beaux, riches, tordus, stupides, jeunes et vieux, poivrots et braves gens, clochards et vieilles dames respectables, des humains contés avec tendresse par Martin , au verbe posé, regard intense, sourire toujours présent derrière le masque des événements étranges, sordides, parfois sublimes, qu’il nous relate.

Du formol au rock n’ roll, du braquage au grand âge, de l’amour à la violence , ces « contes réels » nous font rire, nous émeuvent, nous font frissonner parfois.

L’anthropologue Margaret Mead affirme que le premier signe d’humanité dans l’histoire est un fémur cassé puis guéri. Cela prouve qu’une personne a pris le temps d’accompagner une autre personne blessée, de soigner sa blessure, de veiller sur elle dans un endroit sûr. Comportement unique dans le monde animal : aider quelqu’un qui vit des difficultés serait donc le moment où l’humanité commence.

On peut aussi en conclure que nos fêlures, nos failles, nos faiblesses révèlent notre humanité ! C’est dans ce creuset que Martin nous emmène, celui où nos fragilités deviennent nos forces…